La dépression et les autres maladies mentales ne font pas de discrimination. L’âge, la condition sociale et l’appartenance identitaire n’ont aucune importance quand elles frappent. Tout le monde a droit à une chance d’obtenir de l’aide et de parler de ses problèmes.
Les troubles de santé mentale peuvent avoir des conséquences graves sur la qualité de vie d’une personne, et sur l’ensemble de la société. Selon la Commission de la santé mentale du Canada, les maladies mentales coûtent au moins 50 milliards de dollars à l’économie canadienne chaque année. Le taux de troubles mentaux est élevé : 1 Canadien sur 5 sera touché au cours de sa vie.
C’est bien connu, les maladies mentales sont un lourd fardeau pour les Autochtones. Récemment, Statistique Canada a publié un rapport qui indique que plus d’un adulte autochtone sur 5 vivant en dehors d’une réserve a eu des pensées suicidaires à un moment ou à un autre. Ce chiffre pourrait être encore plus élevé en réalité.
Parler de nos difficultés peut aider à les surmonter, peut montrer aux autres qu’il y a toujours un moyen de s’en sortir et qu’il y a vraiment des gens prêts à écouter.
Un jour par an, Bell encourage chacun d’entre nous à parler de santé mentale, pour faire tomber les préjugés. Pour chaque tweet publié avec le mot-clic #BellCause, Bell donnera 5 cents à des initiatives en faveur de la santé mentale au Canada. De trouver des ressources, visite cause.bell.ca.
Alors, va sur Twitter et prends part à #BellCause : parle de ton expérience, soutiens les autres et fais-leur savoir qu’ils ne sont pas seuls face à la maladie mentale.